jueves, 24 de septiembre de 2015

FINALISTAS DEL "PRIX SNCF DU POLAR 2016

Han sido ya seleccionados los candidatos al prestigioso "Prix SNCF du Polar". De los cinco los únicos que tienen alguna obra traducida al castellano son John Lawton y Marin Ledun. En fin, tampoco es cuestión de lamentarse. Pero ya sabéis, si leéis en francés, estas cinco novelas pueden ser una buena opción.

L'HOMME QUI A VU L'HOMME (MARIN LEDUN): La tempête Klaus vient de s’abattre sur la façade atlantique. Les rumeurs autour de la disparition d’un militant basque, Jokin Sasko, enflent. Iban Urtiz, reporter, comprend que cette affaire n’est pas un cas isolé. La jeune Eztia, soeur du disparu, lui ouvre les portes d’un monde de mensonges et de trahisons.
Tandis que deux tueurs tentent d’étouffer la vérité, la vie d’Iban bascule dans une guerre sans pitité qui ne dit pas son nom.

BLACK OUT (JOHN LAWTON): Londres, 1944. Alors que la Luftwaffe donne l’assaut final sur la capitale britannique déjà exsangue, les Londoniens se précipitent dans les rues, cherchant un abri souterrain au cœur de la ville obscure. Lorsque le calme revient, d’autres horreurs refont surface… Un bras est découvert par un groupe d’enfants jouant sur un site bombardé de l’East End. Lorsque le sergent détective Frederick Troy de Scotland Yard arrive sur les lieux, il devient évident que le corps n’a pas été démembré par une bombe. Troy parvient à relier le bras coupé à la disparition d’un scientifique réfugié de l’Allemagne nazie. 
Il déterre alors une chaîne de secrets menant tout droit au haut commandement des Alliés, et pénètre les mystères d’un monde corrompu, peuplé de réfugiés apatrides, d’agents secrets et de femmes mystérieuses.

TERMINUS BELZ (EMMANUEL GRAND): Terminus Belz. Un jour de janvier, Marko Voronine et trois autres Ukrainiens quittent leur pays pour la France, cachés à l’arrière d’un camion. Le voyage pourrait se faire en quelques heures, mais les passeurs roumains sont des tordus décidés à se payer du bon temps avec la jeune fille montée à bord. Les clandestins parviennent à les maîtriser, à s’emparer du camion et à récupérer leur argent. Mais ils savent que la mafia roumaine voudra se venger: se séparer est le seul moyen de la semer. Marko prend le chemin de la Bretagne. Grâce à une petite annonce, il trouve rapidement un emploi auprès d’un patron de pêche sur l’île de Belz, une île coupée de tout. À l’arrivée, l’endroit n’est pas aussi paisible que prévu. Le métier du grand large en a pris un coup, l’embauche est rare sur les chalutiers et les marins rechignent à céder la place à un étranger. Des histoires bizarres agitent aussi la petite communauté. Vieilles légendes, superstitions ou surnaturel?
Sur «l’île des fous», comme on la surnomme dans la région, les hommes redoutent par-dessus tous les signes de l’Ankou, l’ange de la mort. Lorsqu’un crime atroce est commis, les îliens soupçonnent Marko de l’avoir réveillé Sans papiers, plongé dans un univers hostile, le jeune fugitif aura beaucoup de mal à se disculper, à esquiver les tueurs roumains comme la police française, à démêler le vrai du faux et à conjurer ses propres démons

LA DETTE (MIKE NICOL): Le Cap: deux anciens trafiquants d'armes reconvertis dans la sécurité n'aspirent qu'à couler des jours heureux en famille. Mais quand le passé les rattrape sous la forme d'une dette d'honneur à respecter et que surgit la vénéneuse Sheemina, les ennuis s'accumulent. Des mercenaires réduits à l'état de victimes passives, la haine à ce point devient du grand art!
Sexe, drogue, trafic d'armes et de diamants sont au coeur de La Dette, premier volet de la trilogie Vengeance. Une manière rugueuse de découvrir une face obscure du pays arc-en-ciel. 

ZONE DE NON-DROIT (ALEX BERG): Ça peut arriver à chacun d’entre nous. Tous les jours. Partout. Il suffit d’un malheureux hasard. D’une confusion. Comme de se trouver sur une photo avec une amie iranienne. Et notre vie n’est plus jamais celle qu’elle a été. Nous passons brusquement de cet état de droit, garant de la démocratie, aux zones troubles du non-droit où seules prévalent les règles de la plus sale des guerres, que certains appellent conflit des civilisations.
À Hambourg, les préparatifs du sommet international contre l’armement et pour la protection du climat battent leur plein. Les services secrets ont reçu les premières menaces terroristes. Au même moment, l’avocate Valérie Weymann est arrêtée à l’aéroport de Hambourg, alors qu’elle s’apprête à prendre un avion pour Londres. Au terme d’interrogatoires interminables, elle comprend que les agents de la CIA et du BND la suspectent d’être liée à Al-Qaïda, et voit sa vie de femme accomplie basculer dans l’horreur.
Et puis une bombe explose dans la gare de Dammtor, à Hambourg. Cinq personnes perdent la vie. L’auteur présumé est vite désigné… et il s’avère que c’est un ami proche de Valérie Weymann. Vingt-quatre heures plus tard, l’avocate est conduite dans une prison secrète d’Europe de l’Est. Mais Valérie ne baissera pas les bras et se battra désespérément pour sa survie.


EL CAPITÁN DEL ARRILUZE (LUIS DE LEZAMA)



LA NOVELA: Corre el verano de 1936 y la situación política en España se ha complicado en extremo en los últimos meses. En cada puerto se tejen conspiraciones de todo signo pero ninguna de ellas logra empañar la felicidad de Poli Baraño, quien acaba de cumplir su gran sueño: comprar el buque en el que ha trabajado casi toda su vida, el Arriluze.
Zarpa de Valencia en los primeros días de julio con la ilusión de arribar pronto a Bilbao y así celebrar con los suyos el nacimiento de su primer nieto, al que todavía no conoce. Antes de partir es abordado por dos hombres que se identifican como agentes al servicio de la República y que le piden que lleve a cabo una misteriosa misión bajo el nombre en clave de Yerma. Solo podrá saber de qué se trata una vez se encuentre en alta mar. La travesía tendrá, además, invitados inesperados: la actriz republicana y musa de Federico García Lorca, Margarita Xirgu, y un sospechoso inspector de vapores llamado Jacobo Leguina.
La sublevación militar del 18 de julio les encuentra en el Estrecho de Gibraltar, trastocando por completo los planes de todos. La situación se vuelve más delicada de día en día: cada puerto es una incógnita, la vida del pasaje corre peligro y los malos presagios se suceden en un mar de tinieblas, iluminado por los fogonazos de una guerra fratricida.
«Descubrí que los barcos tienen alma. El alma es propiedad de las personas que los mandan. Navegan según el alma. Un barco sin alma es un cuerpo vacío. Puede ser arrastrado por el viento o llevado por las corrientes hasta el naufragio.»

EL AUTOR: Luis de Lezama Barañano nació en Amurrio (Arba/Álava) el 15 de junio de 1936. Estudió Bachiller en el colegio Jesuitas Indautxu, en Bilbao, e ingresó en la carrera eclesiástica en 1954 en el Seminario Conciliar de Madrid, donde obtuvo el grado de Teología. Es licenciado en Ciencias de la Información por la Universidad Complutense de Madrid y Diplomado en la Escuela Superior de Hostelería de Lausanne, Suiza. Desde 1962 es sacerdote de la diócesis de Madrid.
Entre las múltiples distinciones que ha recibido destacan la Orden del Mérito Civil de Francia, ha sido nombrado Vasco Universal por el Gobierno Vasco, doctor honoris causa en Ciencias Sociales por la Universidad de Providence (Rhode Island, Estados Unidos) y condecorado con la Encomienda de Isabel la Católica. También obtuvo el Premio Nacional de Gastronomía en 2013 en la categoría de premio especial. Recientemente ha sido propuesto al Premio Princesa de Asturias de la Concordia por su compromiso con la integración social de las personas desfavorecidas.
Es autor de diversos libros, entre los que destacan: El trigo y la cizaña, Historias y recetas de mi taberna, En él está la vida, Traje de luces, Hablemos de Dios, La rosa de David, Mori, el gusano de seda y La cocina del Alabardero.

RETRATOS EN BLANCO Y NEGRO (ARANTXA URRETABIZKAIA)



LA NOVELA: Lo que quiero contar en este libro tiene su inicio en 1947, y su final en torno a 1960.
El elemento fundamental del relato es mi infancia, pero no es eso lo que quiero contar. Es más, hay muchas cosas concretas de mi infancia que no quiero contar, y no las contaré. Otras, sin embargo, se me han olvidado; mi memoria las ha borrado de los márgenes de mi cerebro. Al fin y al cabo, las cosas las recordamos siempre a nuestro modo, según los caprichos del cerebro de cada cual.
Esta es mi intención: he situado en mi infancia un visor, con él he hecho unas fotos al pasado y con esas fotos deseo relatar cómo ha sido educada la generación que hoy en día está a las puertas de la vejez, cómo fue su vida en aquella época, aquellos años, en torno a una familia euskaldun, euskaltzale, antifranquista, cristiana y trabajadora que vivía en un humilde barrio de las afueras de San Sebastián.

LA AUTORA: Arantxa Urretabizkaia (Donostia-San Sebastián, 1947) es periodista de profesión y ha trabajado tanto en prensa escrita como en radio y televisión.
Empezó su carrera literaria en la poesía aunque más tarde la desarrolló en el género novelístico, con obras como Zergatik, Panpox (1979), Koaderno gorria (1998) y 3 Mariak (2010), que son las más conocidas.
Con el poemario Maitasunaren magalean obtuvo el Premio de la crítica en el año 1982 y con 3 Mariak el mismo premio, en su modalidad de novela, en el 2010.